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[fanfic] Union Européenne

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Message par Antonio.F.Carriedo Mar 11 Juin - 13:14

Holà ^^ J'inaugure cette partie du forum alors, en postant un petit texte. Je ne sais pas si on peut le considérer comme fini, mais dans ce topic je posterais surement mes textes concernant Union Européenne. Pour l'instant, c'est l'apparition du petit bout de chou à plus de 27 prénoms (parce que oui, pour moi quasiment toutes les nations ont voulu lui donner un nom xd)

Union Européenne

Chapitre 1 : Comment est né l’Union Européenne


Francis n’en revenait pas. Bon, d’accord, le pays devait se reconstruire. D’accord, il leur fallait des alliés. D’accord, il ne pouvait pas se tourner vers le Royaume-Unis, lui-même trop tourné vers l’Amérique. Il était d’accord sur tout. Mais de là à lui demander de se réconcilier avec son ex-ennemi héréditaire de père en fils depuis le XIX…


« Je crois qu’ils surestiment ma capacité à pardonner… »


S’il n’y avait eut que la débâcle de 1871 derrière, il aurait put. S’il y avait eut la Première guerre Mondiale il aurait encore pût. Mais voilà, en 1950 il trouvait que lui demander de pardonner à Ludwig la Seconde guerre Mondiale était trop tôt. Il faisait encore des cauchemars de cette boucherie.


« C’est vrai qu’il n’y a plus grand-chose à craindre de Ludwig, mais… »


Allemagne était dans le même état que son pays. Brisé et en pleine dénazification. Un pays qui tentait de se reconstruire, et qu’on avait aidé pour l’empêcher de re-sombrer. Lorsque l’Allemagne de l’Ouest avait été séparée en trois, Alfred, Arthur et Francis avaient décidé qu’ils garderaient Allemagne chez eux pendant deux ans. Angleterre avait insisté sur ce dernier point. Le but avait été d’éloigner le plus possible Allemagne de son pays.


Les deux premières années, c’était Alfred qui l’avait gardé prisonnier. Et on peut dire que l’Américain avait sorti le grand jeu. Allemagne avait été surveillé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, même lorsqu’il dormait. On lui avait interdit tout contact avec l’extérieur et Amérique avait refusé qu’il participe à une seule réunion. Cette vigilance c’était un peu amoindri lorsque l’Amérique et l’URSS entrèrent dans la guerre Froide.


Fin 1947, se fut Arthur qui s’y colla. Même si l’Anglais l’avait laissé avoir quelques contacts, Ludwig avait tout de même été très surveillé. Angleterre tenait à entendre toutes ses conversations et il ne pouvait prendre la parole aux réunions, que sous son autorisation. Lorsqu’il avait fallut l’envoyer en France, Angleterre avait menacé Allemagne des pires tourments possibles et imaginables, s’il faisait craquer Francis.


France avait été un mélange de la surveillance ultra-rapprochée d’Alfred, et de celle un peu moins stricte d’Arthur. Il le faisait surveiller 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, mais lui laissait tout de même quelques moments de solitude. Par contre, France lui interdisait tout contact avec Féliciano. Ce qu’Arthur avait toléré.


Mais Francis, à la différence des deux anglophones, refusait catégoriquement d’adresser la parole à Ludwig. Et surtout, surtout, il refusait de se retrouver dans la même pièce que lui. Surtout seul. Mais il allait devoir mettre ça à la poubelle. C’était trop tôt, bien trop tôt. Pourtant, il allait bien devoir s’y résoudre.


France se dirigea vers la pièce où Ludwig avait été consigné. Parfois, l’Allemand lui faisait penser à un fauve blessé qui cherchait tant bien que de mal à garder sa dignité.


« C’est ce qu’il est, au fond. »


Allemagne était resté aussi digne et fier que possible, malgré les épreuves qu’il avait traversées, même lorsqu’on l’avait séparé de Gilbert. Il acceptait sans rien dire les reproches qu’on lui faisait. Mais on sentait encore, parfois, pointer son côté nazi. L’Allemagne était en pleine dénazification, il était normal que Ludwig ait des périodes où il re-sombre. C’était dans ces moments là seulement, que Francis acceptait que Féliciano s’approche de Ludwig. L’Italien étant la seule personne capable de le calmer.


« Peut être… Peut être que notre alliance l’aidera à résister. »


Déjà, il fallait qu’il sache si Ludwig était prêt à accepter. Il ouvrit la porte de la pièce où Allemagne était enfermé. La nation allemande était debout, les yeux rivés sur la fenêtre. Il ne saigna pas de se retourner, mais France était sûr qu’il l’avait entendu. Il toussota discrètement, refermant lentement la porte.


- Que veux-tu ? Demanda Allemagne d’une voix sèche.


- Toujours aussi aimable.


- Pourquoi le serais-je ?


- Peut être, parce que ta situation pourrait être pire.


- Elle ne pourrait pas l’être.


- Crois-tu ?


Allemagne se tourna vers la nation française. Il n’aimait pas cette situation, il n’aimait pas rester ici. Ah, il faisait moins le malin France quand… Non ! Il ne devait pas penser à ça. Il ne fallait surtout pas y penser. Son regard se durcit, pour cacher la folie qui risquait de resurgir. Francis ne bougea pas d’un centimètre. Pourtant, il sentait que quelque chose bouillonnait dans son collègue.


- Si tu es venu me faire des reproches, tu peux repartir.


- Je suis chez moi ici. Je vais où je veux.


- Tsss.


- Mais trêve de blabla. Je ne suis pas venu pour t’insulter. Mais si tu insistes, je peux le faire. C’est tout à fait possible.


Le ton du Français était sarcastique mais sincère. Pourtant, Ludwig n’avait pas envie de discuter avec lui.


- Va-t-en.


- Tu ne veux pas entendre ce que j’ai à te dire ?


- Va-t-en je te dis !


- Dommage, se pourrait être intéressant pour ton peuple. Après tout vous en auriez bien besoin.


- De quoi ? D’un nouveau diktat ? Tu veux m’infliger un nouveau traité de Versailles !


- Nous ferons ça à Versailles si tu y tiens.


Allemagne serra les poings. Il avait une forte envie d’aller gifler France. Il était peut être un vainqueur, un vainqueur-vaincu qui devrait être occupé d’ailleurs, mais ça ne lui donnait pas le droit de venir le narguer avec Versailles. Maudit soit ce château, en passant !


- Laissons Versailles de côté. En fait, je suis venu te proposer un traité. Un traité qui permettra à nos deux pays, ainsi qu’à la Belgique, à l’Italie au Luxembourg et aux Pays-Bas de se reconstruire. Se sera un traité de coopération qui nous permettra de sortir de cette mouise. Il faillit rajouter « où tu nous as plongé d’ailleurs »


- Attend… Tu me demande de… De signer un traité avec toi. Toi !


- Moi, Féliciano, Lovino, Cornélia, Willem et Luxembourg. Et je t’assure, qu’à part Féliciano, nous ne sommes pas très partant.


- Faire alliance avec un pays qui a cherché à te détruire. Tu es fou Francis.


- Ben quoi ? J’ai bien une Entente Cordiale avec Angleterre. Mon rival depuis le Moyen-âge.


Il avait dit ça sur le ton de la plaisanterie. Mais on sentait bien que Francis préférait encore faire la paix avec Arthur qu’avec lui. Mais apparemment, ses sentiments ne comptaient pas. Alors inutile d’en parler plus longtemps. Et puis en y réfléchissant… S’allier avec l’Allemagne ne serait peut être pas une si mauvaise chose.


- Bon écoute moi. Le but est de rassembler toutes nos ressources afin de pouvoir subsister sans l’aide des Américains. Et plus particulièrement de mettre en commun…


- Qu’est-ce-que ça nous rapportera.


- Eh bien. L’aide de cinq autres pays. La certitude de ne pas être seul.


- Quoi ?


- Nous pourrions décider de vous abandonner. De vous laisser vous débrouiller seuls. Comme nous l’avons fait en 1919.


- Alors faites-le ! Faites-le si ça vous fait plaisir. L’Allemagne se reconstruira, avec ou sans votre aide.


La tension venait de monter de plusieurs crans. Ludwig était à deux doigts de frapper Francis, qui se tenait debout devant lui. Les bras croisés. Il ne supportait pas cette occupation. Il ne supportait pas que l’on mentionne cette saleté d’année 1919. L’Allemand se détourna du Français, pour ne pas céder à l’envie de l’étrangler. Ce n’était pas le moment de faire ce genre d’erreur.


- C’est exact, l’Allemagne se relèvera. Tous les pays se relèveront un jour ou l’autre, car leurs habitants trouveront la force de continuer. De continuer à faire vivre un pays, malgré son passé. S’ils ne parviennent pas à le faire, ça sera la fin de leur nation, qui disparaîtra. Comme tant d’autre avant elle.


- Arrête…


-C’est la vérité Lulu.


-A quoi ça t’avance de venir me raconter tout ça.


- Mais. Il y a une différence entre se retrouver tout seul, et être aidé par des pays ayant la volonté de vouloir passer outre les conflits. Outre ce qui a pût les diviser. Au lieu de rester sur nos positions, nous pouvons essayer de nous entraider. D’avancer vers le futur ensemble.


- Se sera dur.


- Je le conçois. Le contraire serait même très étonnant. Mais au moins, nous aurons le mérite d’avoir essayé. Mais si tu tiens à ce que l’Allemagne se débrouille seule et que l’on prenne le risque d’un nouveau conflit.


- Non…


- Nous sommes d’accord.


- Il n’y aura… Plus de conflits…


- Je l’espère.


- Mais… Cela ne signifie pas, que nous devons nous allier pour tout.


- J’n’ai pas dit que nous nous allierons sur tout ! Tu m’en demande trop là ! Pour l’instant se sera juste un accord pour les matières premières.


- …


- Alors ?


- C’est dur. Mais je n’ai pas le choix. Et puis, après tout, peut être que cette alliance ne sera pas une mauvaise chose…


- Tu acceptes ?


- J’accepte.


Après une longue hésitation. Les deux pays s’avancèrent pour se serrer la main. Mais ils ne le firent que du bout des doigts et s’empressèrent de retirer leurs mains lorsque se fut fait. Le chemin allait être long...


1951, Paris


- Bon, alors vous êtes tous d’accord ? S’enquit France.


Les autres nations, soit Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Italie (Nord et Sud) et Ludwig (RFA) acquiescèrent du regard. Lovino avait une mine boudeuse, Pays-Bas semblait avoir sincèrement envie d’étrangler Ludwig tandis que Belgique et Luxembourg restaient neutre.


- Très bien, Belgique honneur aux femmes. Signe.


La nation féminine prit la feuille et y apposa sa signature. Pays-Bas, après avoir longuement fixé Allemagne du regard, et Luxembourg signèrent après elle, puis vinrent les deux frères italiens. Romano grogna longuement, mais apposa sa signature à côté de celle de son frère. Lorsque se fut le tour de Ludwig, tout le monde retint son souffle. France n’allait quand même lui interdire de signer au dernier moment hein ? Heureusement Francis ne fit rien, et signa même à coté d’Allemagne.


- En ce jour du 18 Avril 1951, nous, nations de la France, de la Belgique, du Luxembourg, des Pays-Bas, de l’Italie et de la République Fédérale Allemande déclarons officiellement la naissance de la CECA. Puisse-t-elle préserver la paix et la solidarité en Europe et l’aider à se relever de ses erreurs passées. Déclarèrent-t-ils en apposant leurs mains sur leurs poitrines.


A ce moment là, un flash doré envahit momentanément la pièce. Lorsqu’ils retrouvèrent la vue, un petit enfant était apparut juste sur la feuille où ils avaient signés. Il avait à peine un an et avait un vrai visage d’ange. Tout le monde fondit, mais la stupeur les envahit soudain. L’enfant nouveau-né les regardait d’un air larmoyant. Ses yeux marron étaient emplit de larmes et d’une douleur indéfinissable. Des blessures striaient ça et là son petit corps. Certaines étaient très anciennes, et d’autre toutes récentes.


Europe avait été créée pour effacer moins d’un siècle de guerre, mais elle portait aussi la marque de nombreux siècles de guerres toutes plus terribles les unes que les autres. Les souffrances qu’avaient endurées les peuples étaient marquées sur le corps de cette toute jeune allégorie. A eux de s’en occuper, de sorte que qu’il se relève de cette douleur, et peut-être effacer les plaies. Ou du moins, les rendre moins visibles. Belgique finit par se décider et le pris dans ses bras pour le câliner. Elle fut bientôt rejointe par Féliciano. Les autres pays restèrent muets.


- Pauvre enfant… Nous aurons un sacré boulot à faire tu ne crois pas ?


France darda un regard réprobateur sur Ludwig. C’est bien ce qu’il pensait, il lui en voulait encore, ce qui était compréhensible. Ludwig ne daigna pas de répondre. Inutile de dire quelque chose qui pourrait réveiller ces vieux souvenirs. Heureusement la nation latine ne proféra aucune parole qui aurait pût envenimer la situation. peut-être l’apparition du bébé y était-elle pour quelque chose.


- Puisse-t-il permettre à la paix de régner sur ce continent. Murmura Belgique en passant le nouveau né à son frère, Luxembourg qui le passa ensuite à Willem.


- Hé, je ne suis pas sa maman ! Protesta Pays-Bas en commençant, néanmoins, à bercer le petit sous l’œil attendrie d’Italie du Nord.


- Hé, tient le un peu mieux. Imbécile ! Ce n’est pas un sac à patates. Râla Lovino qui voulait en fait avoir le petit à son tour.


- Calmos, je le tiens comme il faut. C’est comme ça que je t’ai tenu, petit ingrat. Et tu te portes plutôt bien.


- Je m’en fiche. Et j’étais plus vieux que lui, je te signal.


Pays-Bas soupira et colla l’enfant dans les bras de Lovino en le priant ironiquement de lui montrer l’exemple, puisqu’il connaissait si bien la chose. L’Italien s’empara du poupon en poussant un « peuh » et commença à le bercer, tout en éloignant Féliciano qui voulait l’avoir aussi. L’Italien l’eut à son tour puis le passa à France. Les choses se gâtèrent dés que se fut à Ludwig de l’avoir dans les bras. Non pas que le Français refusa de le lui donner. Même si vu sa tête, il n’en avait pas envie.


- Allez Ludwig, prend-le. Je suis sûr qu’il t’aimera. L’encouragea Féliciano en voyant que l’Allemand regardait France lui tendre l’enfant sans trop savoir quoi faire.


- Mais…


- Allez Allemagne, tu vas voir. C’est facile.


- …


Ludwig prit très lentement le petit CECA dans ses bras. Enfin il essaya, ses mains tremblaient si fort qu’on avait l’impression qu’il avait but des litres de café ultra fort. Et ça ne s’arrangea pas dés qu’il le colla contre son torse. Le petit bébé commença à pleurer, effrayer par ces violents tremblements.


- Voyons Allemagne, tient le mieux que ça. C’est un bébé, pas une bouteille d’alcool.


- Je… Je sais Féliciano...


Belgique repris de force le petit à Allemagne, craignant qu’il ne finisse par lui faire mal. Allemagne recula et finit par s’enfuir précipitamment. Féliciano essaya de l’arrêter puis finit par lui courir après.


- Je crois que nous avons encore des choses à régler avant de dire que l’Europe est vraiment unie. Lâcha Cornélia tandis qu’elle berçait le poupon.


Hollande et Luxembourg se tournèrent vers France pour lui faire signe que c’était à lui de régler ce problème. Francis hocha la tête et se lança à son tour sur les traces d’Allemagne. Il le trouva aux côtés de Féliciano. Celui-ci lui demandait de se calmer et de s’arrêter de trembler. Francis s’approcha du duo. Italie du Nord le remarqua, mais ne bougea pas et continua d’essayer de calmer Ludwig.


- Allemagne ?


- France ? Mais que…


- Arrête de te morfondre. Ça ne fera pas revenir les victimes du IIIème Reich.


Outch, Francis n’avait pas mâché ses mots. Il devait lui en vouloir plus qu’il ne laissait paraître. Allemagne déglutit difficilement et Féliciano lança un regard de reproches à son demi-frère. France s’approcha un peu plus et s’installa aux côtés des deux nations.


- La Seconde Guerre Mondiale est l’une des pires horreurs ayant vue le jour sur cette planète. Nous sommes tous d’accord sur ce point. Mais elle est derrière nous maintenant. Moi aussi j’ai du mal à oublier, mais nous devons aller de l’avant.


Les deux ex-membres de l’Axe regardèrent France avec étonnement. Ils avaient tellement l’habitude de voir la nation française comme une personne perverse qu’ils étaient surpris à chaque fois qu’il sortait quelque chose de profond. Et le même phénomène se produisait avec tout le monde. Même ceux qui le connaissait bien.


- France… Tu crois vraiment que notre communauté pourra préserver la paix ?


- Il faut espérer Féliciano. Il fat espérer….


- Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier… C’est un bon début mais… Vous croyez vraiment que j’ai ma place parmi vous ?


- Allemagne, toute les nations ici se sont mises d’accord. La CECA ne pouvait être créée sans la participation des deux grands ennemis de la première moitié du XX siècle. C'est-à-dire toi et moi. L’un de ses buts premiers est de nous faire tenir tranquille. Alors oui, tu as ta place.


- Vééé, nous ne voulons plus de guerre…


- … Et avec un peu de chance, il n’y en aura plus avant longtemps… La petite guerre Froide entre Amérique et URSS ne se transformera pas en véritable conflit… Enfin je l’espère…


- France, que fera la CECA si jamais…


- Je ne sais pas… Elle se battra aux côtés d’Amérique, je suppose.


- Mais… Nous nous devrons nous battre contre Hongrie ! Vééééééé !


- Allemagne, il faut que tu prennes le petit dans tes bras. C'est ton fils.


- Vous vous rendez compte que ce petit a six pères et une mère. Ce n'est pas banal.


- Oui, j'espère que Willem ne va pas trouver le moyen de nous accuser d’avoir abuser de sa petite sœur.


- Voyons Francis, nous avons tous vu comment l’enfant est apparu. Comment pourrait-il nous accuser d’une chose pareille.


- On ne sait jamais. Allez, il est tend de conclure cette alliance.


Italie acquiesça et suivit son frère. Ludwig hésita encore un peu, mais se résolu finalement à les suivre. Dans la pièce, Belgique était en train de bercer le petit Europe sous le regard attendri de Luxembourg, et protecteur de Pays-Bas. Lovino essayait de ne pas montrer ce qu’il ressentait, mais on voyait clairement qu’il aimait déjà le petit enfant.


- Ah vous revoilà vous trois. Le petit t’attendait Ludwig.


- Je ne sais pas…


D’autorité, France le poussa vers Cornélia qui lui tendait l’enfant. On lisait une certaine méfiance dans ses yeux, ainsi que dans ceux de ses frères et de Lovino. Oui, le passé n’était toujours pas enterré. Juste, mis entre parenthèse. Pouvait-on vraiment s’en étonner ? Pouvait-on vraiment effacer cette guerre avec un simple traité de coopération économique ?
Antonio.F.Carriedo
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Date d'inscription : 21/05/2013

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